Vivre l'harmonie


Qui suis-je ?
J’ai eu la chance de naître dans une famille où les sujets qui nous intéressent ici n’étaient pas tabous. Ma première instructrice fut ma grand-mère, magnétiseuse, passeuse d’âme et tireuse de cartes à la tombée de la nuit devant un café et des confidences.
Connectée depuis toujours, j’ai découvert la peur de l’invisible avec la conscience que l’on acquiert à la fin de l’enfance.
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L’énergie passait d’un être à l’autre ou d’une chose à l’autre, je trouvais cela normal et je magnétisais sans me poser de questions celui qui avait mal quelque part. Je ressentais en revanche une grande fatigue juste après, inconsciente que j’offrais ainsi ma propre énergie. Les rêves, les visions, les premiers « soins » faisaient partie intégrante de ma vie. En revanche, les présences inquiétantes, les ressentis qui ne m’appartenaient pas, les peurs irrationnelles pesaient bien trop. Il était temps que j’apprenne vraiment.
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Lorsque cette décision fut prise, on a mis sur ma route des personnes prêtes à m’aider et mon enseignement a commencé. Dans un premier temps j’ai travaillé à me renforcer à un point que je n’aurai jamais pensé possible, à guérir et à me protéger.
J’ai appris ensuite à nommer et comprendre les choses, ma place, mon rôle.
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J’ai regardé autrement les présences qui m’effrayaient, j’ai appris à en prendre soin et à les libérer.
J’ai pénétré des lieux et me suis connectée à de grandes et belles choses qui m’aident
aujourd’hui à prodiguer mes soins. Les lieux sont devenus ma quête.
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J’ai appris à utiliser l’énergie des plantes, des pierres, des lieux, de l’eau… de tout ce qui vit. J’ai découvert comment appeler des êtres plus grands que moi pour m’aider dans mon travail. Je sais maintenant utiliser des amulettes et des objets crées il y a fort longtemps, par des personnes qui à l’époque s’inquiétaient déjà de leur âme, d’eux-mêmes et de leurs semblables.
J’ai formé mon corps déjà sensible afin qu’il devienne mon outil, qu’il reconnaisse ce à quoi il est confronté, ce qu’il à faire, ce dont il besoin pour le faire.
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En dépit des a priori sur mon métier et même si je brûle parfois des herbes, je suis une femme simple qui vit dans notre monde actuel.
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Les choses sont bien faites. Si vous avez besoin d’aide et que c’est à ce moment que vous croisez mon chemin, que nous nous inspirons confiance, alors je pourrai faire quelque chose pour vous.